Cette carte de visite de Maxime Lisbonne permet de voir que ce dernier fut toujours très fier de son passé de communard, et même de sa déportation comme forçat en Nouvelle-Calédonie. La note manuscrite « demande à être inscrit pour la parole » permet également de deviner la permanence de son engagement militant.
Actuellement la propriété de Patrick Fonteneau
Cette carte de visite provient de la dispersion des archives du député Charles-Ange Laisant (1841-1920). Elle était déjà repérée par le site très complet consacré à Maxime Lisbonne :
www.lafertealais.com/les-personnages-de-laferte-alais-au-temps-des-cabarets/maxime-lisbonne/