Les références à la Commune de Paris-1871 se sont multipliées ces dernières années. On peut penser au mouvement Nuit Debout, à la Commune de Tolbiac ou aux Gilets Jaunes. La jeunesse qui se reconnaît aujourd’hui dans la Commune est celle qui écrit sur les murs : « On ne veut pas 1968, on veut 1871 » et cette jeunesse-là pense avant tout à l’expérience démocratique de la Commune de Paris.

1er panneau de la nouvelle exposition faite pour le 150ème anniversaire de la CommuneElle cherche à y puiser des formes de démocratie directe qui font cruellement défaut aujourd’hui : des officiers élus au sein de la Garde nationale ; des représentants munis d’un mandat impératif et révocable ; une large mobilisation populaire au sein des églises transformées en clubs révolutionnaires ou au sein des associations, qui ne relâche jamais sa pression sur les « mandants ».

Ce sont ces éléments que nous avons voulu rappeler dans cette nouvelle exposition en 9 panneaux, produite par les Amies et Amis de la Commune :

                                      • Introduction
                                      • Gouverner sans chefs
                                      • La Fédération de la Garde nationale
                                      • La souveraineté du peuple ne peut jamais s’abdiquer
                                      • Une démocratie vivante
                                      • Le gouvernement de la Commune
                                      • La démocratie au travail
                                      • Les conditions d’une démocratie citoyenne
                                      • Les luttes et les espoirs des peuples du monde entier.

Cette exposition est actuellement disponible en deux exemplaires. Voir les conditions de location au siège de l’Association.

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JEAN-PIERRE THEURIER

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