Chère Marie-Ange. Tu étais l’une des figures familières de notre association. Toutes les amies et tous les amis qui ont eu la chance de te rencontrer dans nos diverses initiatives — mises sous pli, tables de littérature, à la fête de l’Humanité, dans les manifestations et autres — étaient enthousiasmés par ta joie de vivre, par ton rire. Tu racontais avec humour ton expérience professionnelle à France Culture, les émissions que tu avais réalisées.
Ton départ brutal nous affecte fortement, tu vas nous manquer. Ce qui est sûr c’est que tu resteras parmi nous, il y aura toujours l’une ou l’un d’entre nous pour raviver ton souvenir.
FRANÇOISE BAZIRE