Comme chaque année en novembre à Dieppe, un hommage a été rendu aux communards et communardes, dont Louise Michel, devant la plaque commémorant son retour de déportation en Nouvelle-Calédonie après l’amnistie en 1880.
Les pluies d’automne n’ont pas permis l’installation d’un décor créé par notre ami Cécil Baboulène, mais elles n’ont pas empêché de chanter très fort, sur le quai et lors du banquet qui a suivi, que « La Commune n’est pas morte ».

NELLY BAULT

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