Record de participation battu !
Les prévisions météo étaient bonnes pour notre fête de la Commune 2025 : « le temps deviendra beau et chaud sur la capitale, notamment dans le 13e arrondissement de Paris et plus particulièrement Place de la Commune, à l’angle des rues de la Butte aux Cailles et de l’Espérance ».
C’est donc sous un soleil radieux, que les drapeaux rouges étaient de sortie. Dès 14h, la foule se pressait autour des stands et du podium où l’intervention de notre amie Claire fut longuement applaudie (voir par ailleurs dans ce bulletin).
Puis ce fut autour de Riton la manivelle, avec sa gouaille, sa gentillesse et son répertoire révolutionnaire de prendre place sur le podium, suivi de Justine Jérémie et son univers musical composé de grands noms de la chanson française, mais aussi de chansons historiques du répertoire national. Puis ce fut le moment théâtre avec le Rendez-vous du 18 mars toujours aussi apprécié par les spectateurs. On enchaîna avec la fanfare Kosmonot avec leur sens du rire, du spectacle et de la fête et on termina avec Yvan Dautin, qu’on ne présente plus : auteur, compositeur, interprète, comédien.
Tout l’après- midi, le public déambula à travers les stands : le stand littérature, toujours aussi bien garni où de nombreux auteurs dédicacèrent leur livre respectif ; le stand t-shirts, foulards et autres objets souvenirs ; le stand tombola avec des lots tous plus beaux les uns que les autres ; l’Estaminet qui proposait des « communards », des gâteaux faits pour la plupart par nos Amies et Amis, de la barbe à papa et des crêpes ; le stand adhésion ( 11 réalisées en quelques heures, ça ce n’est pas rien!).
En plus d’une affluence grandissante, nous pouvions noter outre l’aspect festif, des discussions sur la situation sociale où le renoncement n’avait pas sa place. Nous avons alors mesuré l’extraordinaire modernité de la Commune de Paris de 1871, dont l’esprit reste une source de réflexion.
Remercions pour finir une nouvelle fois tous les bénévoles qui ont permis la réalisation de cette belle journée, le Soyouz, qui nous offre l’électricité et, bien sûr, ce public fidèle sans qui la fête ne serait pas ce qu’elle fut une nouvelle fois.
Rendez-vous le dernier samedi de septembre 2026.
Joël Ragonneau