2025

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ENTRE MÉMOIRE, HISTOIRE ET ESPOIRS, MONTÉE AU MUR DES FÉDÉRÉS 2025
« Le caractère original de l’Association des Amis de la Commune de Paris me paraît être d’associer un travail de connaissance et de vulgarisation scientifique de bon niveau et un effort militant pour entretenir et propager la mémoire de la Commune. Il faut qu’elle s’enracine, se ressource et se dynamise dans la mémoire des Français. Qui mieux qu’une association des Amis de la Commune peut répondre à ce besoin ? » Raymond Huard, bulletin de mai 1994

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Pour son dixième anniversaire, le « Printemps des cimetières » invite l’Association des Amies et Amis de la Commune de Paris 1871 à organiser deux parcours communards au sein des cimetières du Montparnasse et du Père Lachaise le dimanche 18 mai 2025.

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Notre parcours annuel axé cette année sur l’éducation se déroule dans le quartier des Batignolles du 17ème arrondissement, au départ de la Place Saint-Jean où se trouve l’église Saint-Michel des Batignolles.

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Les Ami·e·s berrichon·ne·s participent activement au groupe prosopographique national dans l’organisation et les recherches pour un projet collectif de longue durée sur la connaissance approfondie des participant·e·s aux Communes de 1871.

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Notre parcours du 18 mars 2025 se situera dans le quartier des Batignolles, dans le XVIIe arrondissement, et sera centré sur le thème de notre année 2025 : l’éducation.
L’éducation fut une préoccupation majeure de la Commune, en créant une école laïque ouverte à tous, y compris aux filles, et un enseignement gratuit.

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En 1871, la Commune s’était fixé pour tâche l’instruction gratuite, obligatoire et exclusivement laïque. En ce sens, elle anticipait les célèbres décrets de 1884. Mais ses visées étaient bien plus démocratiques que celles de Ferry. Pour les communards, il devait y avoir un lien étroit entre l’instruction et l’émancipation.
On partait de très bas. En 1870, l’école n’était ni gratuite, ni obligatoire. Le travail était encore autorisé pour les enfants dès huit ans ! Et, depuis la loi Falloux, l’Église avait la mainmise sur l’école publique. Dans ces écoles, un tiers des enseignants étaient des religieux. Et là où les instits étaient laïcs, ils devaient assurer un enseignement religieux, poser des signes religieux sur les murs et respecter les programmes fixés par l’Église.